Ainsi, à Montpellier, il faut l’équivalent d’environ un mois et demi de loyer (40 jours de location) pour couvrir le montant de la taxe foncière, selon Meilleurs Agents qui a passé au crible les 11 plus grandes villes de France dont Paris. Même punition à Toulouse, Nantes et Bordeaux où les investisseurs ne rentreront dans leurs frais qu’après avoir encaissé l’équivalent d’un «gros» mois (entre 38 et 35 jours). C’est d’ailleurs à Nantes que la taxe foncière a le plus flambé ces 5 et 10 dernières années (respectivement +20,28% et +37,51%). Et sur un an, Montpellier est une des villes où l’impôt a le plus grimpé (+2,6%). À Lille et Strasbourg, la pénalité est à peine moins sévère: 31 et 28 jours. La moyenne nationale s’élève à 2,3 mois de loyers, selon l’Union nationale des propriétaires immobiliers.